Marie-Louise compose une peinture charnelle du monde en voyageant à travers les univers picturaux de Botticelli, Egon Schiele, Edward Hopper, Jérôme Bosch…
Sur un grand écran de projection, en toile de fond, des tableaux surgissent, gigantesques, impressionnants. Familiers parfois. A l’avant-scène, les corps en mouvement donnent chair à la vie endormie de ces chefs-d’oeuvre.
La danse, organique et sensuelle emprunte autant au langage circassien que chorégraphique ; offrant aux interprètes un espace de liberté et d’imagination débridée.
La femme en rouge d’Edward Hopper s’incarne sous nos yeux, les êtres mi-hommes, mi-animaux du Jardin des Délices grouillent et grognent, deux hommes entament un duel flamenco avec chaises…
Chaque tableau est une porte ouverte sur des sensations, des émotions, et nous touche dans ce que la peinture nous révèle de nous-mêmes.
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